Sins of the Father

Dans Sins of the Father, votre famille a vendu votre âme bien avant votre naissance, et il vous incombe donc de perpétuer l’héritage familiale au service d’un Sombre Seigneur. Qu’il soit le diable (au sens propre), un démon d’une autre dimension, un vampire assoiffé de sang ou une sorcière qui vit dans les bois, votre personnage et sa famille sont redevables à cette entité pour les dons et les richesses dont ils bénéficient.

En tant que séides de ce maître, vous, les Damnés, devrez remplir des missions pour effacer les dettes que vous ou votre famille avez contracté, et ainsi peut être retrouver votre liberté…
Même si vous n’êtes pas liés par le sang, vous êtes liés par vos devoirs envers votre Seigneur, et vous devrez donc, ensemble, remplir vos obligations telles qu’elles sont énoncées dans vos contrats.

Sins of the Father (nominé au ENnies 2017 dans la catégorie meilleur jeu) est un jeu de rôle contemporain fantastique matinée d’un soupçon d’Horreur et d’humour noir.
Il propose un système simple, se jouant avec un paquet de 54 cartes (1 pour chaque joueur), avec une création de personnage aléatoire se basant sur les 7 Péchés Capitaux, et une liberté de ton dans un jeu qui se veut évidement assez sombre.

De part sa thématique, Sins of the Father vous permet de jouer à travers les générations. Quand vous avez terminer votre arc narratif avec vos personnages (ou que vous les avez usés jusqu’à la corde) vous pouvez continuer l’aventure en incarnant leurs enfants !
Et pourquoi se limiter à la génération suivante ? Faites un saut dans le passé et jouez les personnages avec qui tout à commencer ! Par son système simple et flexible, vous pourrez facilement l’adapter à n’importe quelle époque.

Cette édition française est une version « augmentée » proposant un réagencement des chapitres pour une meilleure compréhension, quelques textes additionnels et un scénario inédit : Le jour du homard !